C’est encore dans une gare SNCF que nous retrouvons l’élu écologiste niçois Jean Marc Governatori en compagnie de son équipe locale :
- Olivier Lesage, correspondant régional Écologie au centre,
- Charles Malot, cadre Écologie au centre,
- Marie Aurore Gianolzo, cadre Écologie au centre,
- Marc Dupuy, correspondant départemental du parti « Europe Ensemble »,
- Alain Guarino, président fondateur du parti autonomiste provençal « Prouvènço Nacioun ».
Toujours optimiste, il martèle le score de 5% comme un mantra car c’est le seuil obligatoire pour fouler le sol du parlement européen l’été prochain. Son objectif est même d’être “dans la roue des zemmouriens” car les sondages seront “vitaminés par la documentation électorale distribuée un juin dans chaque foyer français”. Favorable au pacte vert, au pacte migratoire européen, les dirigeants macronistes, Eelv, le RN et Raphaël Gluksman en ont pris pour leur grade puisque selon le centriste, il vit dans le monde réel alors que ses opposants sont dans le monde parallèle. Ils incarnent les listes des problèmes après 5 ans d’échecs face à sa liste qui serait celle des solutions : développement de l’agriculture paysanne, de l’économie circulaire et de la rénovation énergétique, promouvoir l’éducation à la santé, subventionner l’agriculture bio pour la rendre accessible, interdire toute importation de produits agricoles aux contraintes environnementales et sanitaires moins exigeantes que celles imposées à nos paysans.